L’alimentation anti-inflammatoire qui va vous rendre centenaire
Scientifique
Des fondements sérieux, appliqués depuis des siècles et prouvés par les études récentes.
Flexible
Un minimum de contraintes, adaptées à votre mode de vie et vos besoins. Évolution avec le temps.
Une alimentation séculaire
L’alimentation anti-inflammatoire n’est pas le dernier régime à la mode ni une invention farfelue. Au contraire, c’est un concentré d’alimentations reconnues pour leurs bienfaits : régime méditerranéen, régime Okinawa (l’île des centenaires au Japon) ou régime Seignalet. De nombreuses études scientifiques sérieuses ont démontré les résultats de ces alimentations limitant les glucides raffinés, la viande ou les graisses saturées. En tant que naturopathe, je suis formée en nutrition et micro-nutrition pour vous proposer des recettes équilibrées,simples et gourmandes suivant ces principes.
Notre mode de vie actuel est source de nombreuses tensions dans notre organisme : stress, sédentarité, manque de sommeil, produits transformés… Ces facteurs perturbent l’équilibre acido-basique de notre corps et créent des inflammations dans notre organisme. Ces douleurs sont d’autant plus importantes que vous souffrez déjà d’inflammations chroniques (fibromyalgie, douleurs articulaires, obésité…).
L’alimentation anti-inflammatoire est bénéfique pour tous, à tous les âges et finalement très simple à mettre en place. Elle est compatible avec tous les modes de vie, que vous soyez sportif ou sédentaire, femme enceinte, ou que vous souffriez d’une pathologie chronique. De plus, elle est particulièrement adaptée aux personnes souffrant de maux réguliers : douleurs articulaires, troubles digestifs, diabète, obésité, syndrome pré menstruel, fibromyalgie… Elles peuvent ainsi ressentir des améliorations significatives et durables.
Des recommandations claires et limitées
Le but de l’alimentation anti-inflammatoire est de réduire les inflammations de l’organisme en rééquilibrant l’alimentation. Notre corps s’acidifie naturellement par une oxydation cellulaire. C’est un mécanisme naturel sur lequel nous n’avons pas beaucoup de moyen d’action. Plus notre alimentation sera elle aussi acidifiante, plus nous allons accélérer des phénomènes d’inflammation et donc à long terme des pathologies. Le but sera donc d’apporter un maximum d’aliments alcalinisants de façon à limiter un déséquilibre acido-basique et de limiter les inflammations.
Pour cela, la première des choses à faire est de diminuer la part des protéines animales, notamment l’apport de viande rouge. En fonction de l’âge, un apport de viande rouge une fois par semaine est largement suffisant. Les protéines animales sont également contenues dans les produits laitiers : fromage, yaourts, lait..Il suffit simplement de réduire sa consommation de produits laitiers notamment ceux élaborés avec du lait de vache en privilégiant les produits à base de lait de brebis et de lait de chèvre. Les produits laitiers contiennent effectivement du calcium, mais ils contiennent également du phosphore qui acidifie l’organisme et empêche la fixation du calcium sur l’os. Les laitages sont notamment à réduire dans toutes les pathologies d’encrassage de l’organisme : acné, sinusite, arthrose..
Tous les produits raffinés sont également à diminuer ou à exclure. En effet, ce type d’aliment favorise les inflammations. Ces produits contiennent très peu de minéraux, de vitamines, de fibres. De plus, ils possèdent très souvent un index glycémique élevé.
Pour équilibrer notre homéostasie, on fait la part belle aux fruits et légumes, riches en fibres, en vitamines, en anti oxydants et en nutriments. Ils aident ainsi l’organisme à retrouver son état d’équilibre naturel et restaurent un microbiote intestinal sain. Les protéines sont apportées naturellement par les légumineuses, les oléagineux ou des végétaux.

Les aliments riches en omégas 3 comme les sardines, les maquereaux, les harengs, l’huile de colza, de cameline ou de lin, sont favorisés pour leurs effets protecteurs sur le cerveau et jouent un rôle prépondérant sur l’inflammation. Les herbes et les épices ajoutent saveur et originalité aux repas tout en diminuant les quantités de sel. Ils ont un rôle alcalinisant souvent négligé. N’hésitez donc pas à les introduire au quotidien dans votre cuisine notamment avec des plats de viande afin de diminuer l’effet acidifiant de ces derniers.
Vous l’avez compris. Il ne s’agit pas d’un changement radical d’alimentation mais de trouver un nouvel équilibre alimentaire.
Pas d’interdit dans l’alimentation anti-inflammatoire
Aucun ingrédient n’est interdit avec l’alimentation anti-inflammatoire, pas même les pâtisseries, les plats en sauce, les produits transformés… Il s’agit d’adapter la fréquence et la quantité des aliments aux bienfaits qu’ils apportent à votre corps. Sauf cas particulier d’allergie, votre naturopathe vous conseillera de varier vos repas pour diversifier les sources de nutriments. Vous pouvez donc continuer à partager un repas entre amis ou vous régaler d’un bon gâteau d’anniversaire. Pour les desserts, les légumes doux comme la courgette ou le potiron sont des alternatives à découvrir pour alléger les gâteaux de manière surprenante.
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Une alimentation pour la vie
L’alimentation anti-inflammatoire n’est pas un régime que vous abandonnez quand vous avez atteint votre objectif. Le but d’un suivi de naturopathie est de mettre en place une alimentation qui vous donne la forme et n’engendre pas de privations. Une fois que votre organisme a retrouvé son équilibre et un bon microbiote intestinal, vous n’avez plus de pulsions pour des aliments pauvres en nutriments. Vous faites ainsi perdurer facilement vos nouvelles habitudes.
Et n’oublions pas que nous ne sommes qu’un petit être humain sur une planète qui a besoin de nos efforts. Mes recettes sont donc adaptées aux problématiques environnementales actuelles : cuisiner des produits locaux et de saison, restreindre les protéines animales à nos besoins et limiter le gaspillage alimentaire en cuisinant toutes les parties des légumes.